Acérol’ion

Composition :                                      1 comprimé VNR*

Extrait sec de fruit d’acérola BIO** 1 058,8 mg

dosé en vitamine C soit180 mg225%

 *Valeurs Nutritionnelles Recommandées

Ingrédients :

Diluant : sorbitol, Extrait sec BIO** de fruit d’acérola (malpighia glabra)

Anti agglomérant : stéarate de magnésium, Aromatisant : arôme cerise.

**produit issu de l’agriculture biologique certifiée

Un extrait est une substance obtenue par extraction à partir d'une matière première solide ou liquide, souvent par dissolution à l'aide d'un solvant tel que l'éthanol, l'huile ou l'eau.

Les extraits peuvent être commercialisés comme teintures, absolues, ou sous forme de poudre.

PRESENTATION

Boîte de 35 comprimés.

87.5g

Conseils d’utilisation :

Prendre 1 comprimé à croquer ou à sucer le matin. Ne pas dépasser la dose journalière conseillée. L’utilisation de ce complément alimentaire ne doit pas se substituer à une alimentation variée, équilibrée et à un mode de vie sain. Tenir hors de portée des enfants. Conserver au frais, au sec et à l’abri de la lumière.

Il est recommandé aux femmes enceintes et allaitantes de consulter un professionnel de santé avant toute complémentation.

PROPRIETES

La vitamine C, ici extraite de l’acérola, contribue au maintien de l’intégrité du collagène, à la synthèse des globules rouges ainsi qu’à la stabilisation des tissus conjonctifs.

Protégeant les vaisseaux sanguins contre les dommages occasionnés par les radicaux (molécules d’oxygène instables qui, perdues dans l’organisme, tentent de se reproduire, avec des éléments de nos cellules), elle facilite la diminution de la tension artérielle, du mauvais cholestérol et privilégie l’augmentation du HDL bénéfique (bon cholestérol).

Également connue, pour son soutien au système immunitaire par le biais d’action auprès des lymphocytes et des polynucléaires neutrophiles (globule blanc), elle vient en aide à l’Acide Désoxyribonucléaire (communément appelé ADN) en diminuant sa lésion oxydative.

Un peu d’histoire …

Dans l’antiquité, une grave maladie appelée scorbut, touchant principalement les marins ainsi que toutes les personnes privées d’aliments frais pendant trop longtemps, donnait lieu à des douleurs osseuses, des hémorragies gingivales mais également de fortes anémies.

Au cours du XVIIIème siècle, un médecin de la marine anglaise, James Lind, découvrit que quelques gouttes de jus d’orange ou de citron absorbées par les marins tous les jours, les protégeaient et supprimaient la souffrance de cette maladie.

En 1928, le biochimiste hongrois Albert Szent Györgyi isole une substance cristalline de jus de citron qu’il nommera acide ascorbique (vitamine C) en référence au scorbut. Sa synthèse sera rédigée en 1933 par les chimistes Walter Norman Haworth et Tadeusz Reichstein.