Le cyprès, en phytothérapie on utilise son fruit, le cône de cyprès, auquel on attribue des effets protecteurs du système vasculaire et vasoconstricteur, anti-inflammatoire, astringent, fébrifuge, antitussif, diurétique et antispasmodique. Il soulage le syndrome des jambes lourdes, agit sur les varices, les hémorroïdes, l’incontinence et le syndrome prostatique.
On ledit régulateur de la circulation sanguine et tonique veineux, il réduirait la rétention d’eau et agirait contre la cellulite, rééquilibrerait le système nerveux et dermatologique.
Le cyprès, déjà au moyen âge, la religieuse bénédictine Hildegarde de Bingen lui octroyait des vertus importantes pour lutter contre les états de fatigue générale.

La racine d’échinacéa, connue pour son pouvoir protecteur et stimulant du système immunitaire, elle agit notamment sur la durée du rhume.
C’est par activation des globules blancs et production des interférons qu’elle agit.  Des études cliniques ont été menées et semblent indiquer que l’échinacée pourrait aussi avoir des effets antiviraux, anti-infectieux et antifongiques.
Les effets bénéfiques de l’échinacée sur les symptômes du rhume sont dus à son activité anti-inflammatoire, en particulier à sa capacité à bloquer la production de cytokines (molécules de l’inflammation).
La racine d’échinacéa, était déjà utilisée par les Amérindiens de l’Est des Montagnes Rocheuses pour soigner les infections des voies respiratoires et les morsures de serpent